L’apprentissage du chinois mandarin est de plus en plus répandu dans l’enseignement secondaire et supérieur. Il met l’accent sur une pratique raisonnée du langage courant, une initiation à l’écrit, et une grande place est faite à l’articulation

L’apprentissage du chinois répond à plusieurs aspirations. Le dynamisme économique de « l’empire du Milieu », suffisamment souligné par les médias, encourage l’apprentissage de cette langue.
Aussi, la rareté de cette compétence linguistique en fait un atout. En effet, très peu de personnes savent parler chinois en France. Pourtant, le chinois réunit plus d’1,2 milliard de locuteurs natifs, soit une personne sur six sur la planète. Les personnes sachant parler couramment le mandarin peuvent donc se démarquer au moment de trouver un emploi et marquer des points aussi bien personnellement que professionnellement en parlant la langue des partenaires commerciaux d’une entreprise.

Mais il ne faut pas se restreindre aux seules finalités économiques : apprendre le chinois et son écriture en idéogrammes, c’est surtout s’imprégner d’une logique de raisonnement différente de nos schémas mentaux occidentaux, c’est découvrir une autre vision du monde, s’ouvrir à une culture et une civilisation plusieurs fois millénaire, qui ne se résume pas qu’aux gadgets « made in China ».

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